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janvier 26, 2009Mon nouveaux blog
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Le Congo Victime d’un complot international.
octobre 30, 2008Le militaire ont décroché sur les lignes de front, tous se dirigent ver la ville de Goma ce qui à crée une panique généralisé dans la ville de Goma, toutes les activité ont stopper a partir de 14 heures de ce mercredi 29 octobre, lorsque l’on a assisté à cette afflux de militaire et déplacé dans la ville de Goma. Toute la nuit a était le théâtre de crépitement de balle par des militaires incontrôlé, l’on apprend que une famille à était victime d’une incursion militaire bilan 7 personnes tué ; Ici la population de Goma ne sait plus sur qui se penché lorsque la Monuc sensé apporté une appuis au Force loyaliste est aussi incapable de le faire faute de moyen en effectif. Goma est au point de tomber entre les mais de rebelle malgré leurs cessez- le feu unilatérale. Personne n’y croit car le Congo est victime d’une agression maquillé de rébellion. où a tu vu des rebelles avec de char ? Ici nous sommes dans une débandade total la population dans la rue sans assistance aucune le militaire décroche au front témoignant la participation de l’armé rwandaise au coté des rebelles, hélas ces allégations sont rejeté d’un revers de la mais et par le Rwanda et les rebelles et grave encore la communauté internationale accepte cette violation des frontière. Aucune condamnation à ce sujet, pourtant le Congo est un pays souverains. Le seul pêché est, la RDC jadis Zaïre avait accueillit sous sont sol le réfugie Rwandais (Bantou) que Kigali qualifie de génocidaire, Ce que nous appelons rébellion dans le Nord Kivu c’est un arbre qui cache la foret. Car il n’est pas possible que le cahier des charges de Kigali soit le même que le rebelle. Ça c’est une moquerie de la communauté internationale lorsque Kigali accuse le casque bleu de la Monuc d’être de mèches avec le FDLR ! Cet alibi que Kigali présente veut justifier sa présence en RDC. L’agence de presse Reuter à publié que le Rebelle du CNDP s’est sont servi du territoire Rwandais pour attaquer le Congo, le faite de donner une couloire au rebelles est une violation que la communauté internationale doit condamné mais hélas il ne cesse de dire que le problème à l’Est de la RDC est Congolais. Ici les Congolais en générale et en particulier ceux du grand Kivu s’interrogent : « Pourquoi cette pesanteur au sommet de la communauté internationale ? Et pourtant c’est établi que le Rwanda est belle et bien au Congo c’est n’est pas un secret. Pas plus qu’hier une générale de la Monuc venait de Démissionner puisqu’il n’a pas voulu cautionner à ce complot international dont la RDC est victime. » La situation dans la partie est de la RDC laisse à désiré, c’est incompressible qu’un représentant du secrétaire général de l’ONU demande de troupes supplémentaire pour juguler la crise à l’est mais rien de concret et sur le terrain le pseudo rebelle avance devant l’incapacité de la Mission onusienne pour des raisons de manque d’effectifs. Et la faiblesse une armé nationale qui se recherche et se reforme.
L’entourage impropre les empêche de rester dans leurs Parcelle.
octobre 25, 2008A Kinshasa, tout est possible, plusieurs personnes de la commune de Ligwala sont obligées de quitter leur parcelle pour se réfugier dans l’enclos de l’académie de beaux arts. Le climat chaud les oblige de s’abriter sous les arbres. Pendant notre séjours lors de la biennale de la photo grave à été notre surprise lorsque nous avons trouvé des étudiants des différentes institution environnant l’académie de beaux arts ; qui d’un cahier faisant la relecture des ses notes. Nous avons voulu en savoir plus ; lorsque nous nous sommes approché du lieu nous avons rencontre et de famille et des personnes qui son venu se reposer, notre regard ne s’est pas limité a cela mais aussi assister a ceux qui passait paisiblement leur sieste sous l’arbre très tranquillement. Nous nous sommes rapproché de ces locateur de l’enclos de l’académie les uns nous ont déclaré fuir le brouit : « Papa Journaliste j’ai de petit enfants qui ont droit a une éducation, pendant cette période de vacance je préfère venir resté avec eux dans cette enclos où c’est calme cela nous évite de l’immoralité qui bas son plein dans nos quartier. Nous venons chaque jour a partir de 8heures pour rentrer à 18 » Déclare Madame Rose trouvé entrain de manger le pain avec ses trois enfants. Pendant notre tours, nous avons rencontrer un soit disant chercheur qui a l’aide d’un stylo faisait des tableau lui aussi nous a déclaré que pendant son congé il ne veut pas croisé le bras il préfère aussi venir faire ses recherche dans l’enclos de l’académie des baux arts plus loin de lui il y a des étudiants derrière lui les dormeurs. Apres ce tour nous avons conclus que bien que les Kinois sont réputé être les amoureux de l’ambiance il y a quand même certaine personne qui n’aime pas le tapage. L’ambiance dans l’enclos de l’académie de beaux arts nous le témoigne d’avantage.
De l’électricité grâce à une simple batterie
octobre 21, 2008À Goma, des convertisseurs branchés sur une batterie et fabriqués localement apportent aux habitants le courant électrique qui leur fait tant défaut. Ils sont en outre plus fiables et moins polluants que les générateurs. Particuliers et commerçants, tous s’en réjouissent.
« Je suis très content des convertisseurs fabriqués localement. Ils nous épargnent certains coûts« , estime Junior Mughuma de Goma, dans l’est de la RD Congo, qui se félicite de ce système grâce auquel il peut à nouveau s’éclairer. Ces convertisseurs transforment l’énergie stockée dans une batterie rechargeable en électricité. Ils sont fabriqués localement depuis 2006, par Christophe Nyandwi, un jeune électricien de 24 ans, aidé par d’autres jeunes électriciens de Goma. Le matériel est vendu par bouche à oreille, chaque usager découvrant ses avantages chez un voisin. « Un convertisseur se fabrique sur commande. Les prix varient selon sa capacité », raconte le jeune fabricant qui se forme en électronique par correspondance de Paris.
Le manque d’électricité est un véritable casse-tête à Goma. Avec l’exode rural dû à la guerre, les habitants sont de plus en plus nombreux et les besoins de la ville en électricité augmentent. À la suite de sérieux problèmes techniques dans la centrale de Bukavu, la Société nationale d’électricité (Snel), unique société habilitée à distribuer le courant, fournit à ses abonnés 5 fois moins de courant qu’elle n’en offrait il y a quelques années. Très insuffisant. « Il nous arrive de rester sans électricité pendant des semaines… Nous avons à présent une solution à court terme », se réjouit Jean-Pierre Muhozi, habitant de Katoyi à Goma.
Peu coûteux et dotés d’une grande autonomie
De nombreux habitants utilisent des générateurs lors des délestages. Mais ceux-ci posent des problèmes, surtout lorsqu’ils sont utilisés à des fins commerciales : grosses dépenses en carburant, plaintes des voisins pour le lourd vrombissement du moteur, pollution par la fumée. Les convertisseurs n’ont pas ces inconvénients. « Avec mon convertisseur, je ne gaspille plus d’argent et plus personne ne m’interpelle dans la rue à cause du bruit. Ce système électrique me permet de garder mes clients, car ils sont à nouveau satisfaits« , témoigne René Hangi Kahoma, patron du salon de coiffure Internet à Goma. Un convertisseur coûte entre 80 et 100 $ tandis qu’un générateur demande au minimum 5 $ de carburant par jour. En outre, « les générateurs tombent intempestivement en panne et causent des retards qui font fuir nos clients. C’est du manque à gagner pour nos entreprises« , poursuit Mao Maombi, un autre coiffeur.
Ces convertisseurs sont également très appréciés pour leur grande autonomie. « Avec une vieille batterie, je peux avoir de la lumière pendant 2 jours non-stop sans la recharger. Je peux désormais allumer ma télévision et écouter de la musique sans déranger ni l’environnement, ni le voisin« , apprécie Janvier Bojo, du quartier Katoyi. Aujourd’hui, plus de 250 ménages de Goma – sur une population d’environ 500 000 habitants – ont retrouvé la lumière. Discrets, ces engins se font aussi moins voler que les générateurs dont le bruit renseignait les voleurs qui s’introduisaient chez les particuliers.
Ils rendent aussi les Congolais, qui d’habitude gèrent plutôt mal leur consommation d’énergie, plus rationnels. Dorénavant, ils veillent à bien éteindre toutes les lumières la nuit en pensant au lendemain. « Plus vous utilisez l’énergie, plus l’autonomie diminue, explique Michel Munguakonkwa, un habitant soulagé de Mabanga à Goma. Je sais maintenant qu’avec cette batterie je peux alimenter ma maison sous convertisseur de 19 à 22 h tous les soirs pendant deux semaines.«
Alain Wandimoyi